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dimanche 29 novembre 2015

=> In the after - Demitria Lunetta [In the after, #1] <=

En guise de deuxième lecture pour Halloween, j'ai opté pour un roman que je souhaitais lire depuis un moment et que je me réservais justement pour l'occasion. C'est dans une forêt pleine de bruits (vent, feuilles mortes, joggers) que j'ai commencé In the after de Demitria Lunetta. Si j'ai vite sursauté au moindre craquement/bruissement, je peux aussi vous dire que j'ai vite été happée par le récit et en suis ressortie avec un charmant coup de coeur

Éditeur : Lumen
Traductrice : Maud Ortalda 
Genre : post-apo, fantastique, YA
Public : dès 14/15 ans
Nombre de pages : 409
Date de parution : 11/09/2014
Prix : 15€

Résumé
« Amy est devant sa télévision quand le pire se produit, quand ILS attaquent. New York, Paris, Tokyo... Des créatures sans pitié déferlent, et dévorent les humains. Personne ne sait d'où ils viennent mais une chose est sûre : la population de la planète décroît dramatiquement en quelques jours à peine. À l'abri de la grille électrifiée de sa maison, Amy parvient à leur échapper... mais pour combien de temps ? 
Elle qui a perdu tous les siens parvient tout de même à recueillir Baby, une petite fille qui a miraculeusement survécu aux crocs acérés des nouveaux maîtres du monde. Trois ans qu'elles survivent en autarcie, quand d'autres survivants commencent à se manifester. Elles pensent que leur enfer est terminé... mais il ne fait que commencer ! »

Avis
Rapidement transportée par l'histoire, je ne vous cacherais pas que dans mon petit bois, les petits bruits sont vite devenus assourdissants. Une branche craquait que j'imaginais sans peine un montre furieux et affamé sortir d'un buisson ou de derrière un arbre. On se prend d'emblée d'affection pour Amy, on s'identifie si simplement, on comprend si facilement les codes de cet univers post-apo... Bref, j'ai succombé aux charmes de In the after en moins de temps qu'il n'en faut pour dire « florae » !

Il m'a fallu pas mal de temps pour craquer, beaucoup de prélectures en magasin, de passages devant à me demander si oui ou non je craquerais, de retour à la maison les mains vides. Jusqu'à ce jour où je me suis assise dans le rayon pour commencer à le lire et où il m'a finalement accompagné en caisse. Je redoutais en fait le côté silencieux du roman, l'absence de dialogue, l'absence de compagnie d'Amy. J'avais peur de tourner en rond, de lire plus de descriptions qu'autre chose, et de ne pas être capable de m'insérer dans l'histoire. Trente pages plus loin, je me suis rendu compte à quel point cette idée était ridicule
En fait, le silence n'est en aucun cas une gêne tant l'action, les personnages et l'univers sont prenants et n'ont guère besoin de bruit. Ce tout nous fait passer outre l'absence de dialogues, la nécessité de se déplacer sans bruit, l'isolement subi par notre héroïne. Efficace, addictif, voilà des qualificatifs qui collent à merveille au roman ! In the after démarre fort et vite, l'action est présente d'entrée de jeu et le lecteur s'accroche à Amy dès le premier regard. Le lecteur se retrouve vite hors d'haleine, mais tout aussi incapable de reposer sa lecture
Pourquoi ? Parce que Amy est un personnage so badass ! Une survivante comme il fait plaisir à en voir et à côtoyer. Sa vie bascule d'un extrême à l'autre après l'arrivée des monstres : exit les amies, les sorties, le lycée, bonjour monstres, silence et obscurité. Amy se retrouve toute seule. Seule pour comprendre les habitudes de ces monstres, seule pour subvenir à ses besoin. Pourtant, elle en prend son parti et apprend. Se déplacer, se taire, se battre, survivre, vivre autrement. Notre Amy est loin de succomber à la facilité ! Et quand elle trouve Baby... Mon coeur a fondu à la vue de ce trio inattendu ! Un soupçon de mignotitude et d'amour dans ce monde sombre ! 
Mais un personnage badass et une histoire de monstres fous de chair humaine ne seraient rien sans l'écriture de Demitria Lunetta ! À couper au couteau, incisive, dépouillée, la plume de l'auteur est PARFAITE ; n'ayons pas peur des mots. Elle a le don de maintenir le suspense, de mettre son lecteur au supplice et maîtrise indéniablement le fash-back. Moi qui ne suis pas toujours fan de ces aller/retour dans le temps, j'ai apprécié suivre Amy dans son présent autant que dans son passé, d'en apprendre ainsi plus sur elle et sur sa vie d'avant. Un détail qui nous permet de prendre conscience de l'évolution des personnages, vis-à-vis de leur personnalité comme de leur lien.
Vous rêvez d'un guide de survie en période d'invasion ennemie/monstre/extraterrestre ? Vous pouvez sans problème ajouter In the after à votre liste ! Si j'ai complètement loupé le coche en matière de zombis/extraterrestres - je suis du genre à les préférer gentils et mignons -, je me surprends de plus en plus à apprécier ces univers post-apo redoutables, où des êtres monstrueux mettent tentent de mettre l'humanité en péril. Demitria Lunetta nous livre ici un monde complet, une théorie tellement plausible/folle et une intrigue rondement menée ! Je n'ai rien vu venir, de l'intrigue ou de mon coup de coeur, je me suis laissée surprendre plus d'une fois, j'ai frissonné autant qu'il m'est arrivé de rire... et j'en redemande

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In the after de Demitria Lunetta a été un vrai et gros coup de coeur ! Coup de coeur pour un univers post-apo que j'ai aimé plus que je ne l'attendais. Coup de coeur pour la plume de l'auteur qui correspond si bien au roman. Coup de coeur pour Amy et Baby, deux héroïnes qui sont entrées dans mon coeur juste comme ça. Coup de coeur pour la découpe de l'intrigue, ses parties, ses flash-back, ses révélations. Coup de coeur pour l'ambiance, pesante, urgente. Coup de coeur pour l'écrin - Lumen nous offre encore une très belle couverture.
Jetez-vous dessus avant qu'un florae ne vous dévore !

Les copines ont aimé aussi : 
Léa touch book / Échos de mots / Plume sensible


Challenge jeunesse/young adult : 5/65

mercredi 25 novembre 2015

#Routine du lecteur/blogueur

• L'idée : en tant que lecteurs/en tant que blogueurs/en tant que lecteurs et blogueurs, on se retrouve parfois confronter à des petits problèmes, des petites angoisses, des questions, auxquels on aimerait bien une solution.
• Pourquoi ? Parce que j'aimerais être libraire/bibliothécaire/secrétaire d'édition, sans avoir cette chance pour le moment. Parce que j'aime conseiller, blablater, le tout dans l'esprit livresque. Parce qu'il est toujours bon d'avoir quelques conseils. Parce qu'on se pose peut-être les mêmes questions, et que nous pourrions y répondre ainsi ensemble. 
• Comment ? Chaque mois, j'exposerai un problème/une question et tenterai de lui apporter des solutions, misons sur trois. Le tout accompagné de quelques idées livresques en fin d'article. 

Let's go ! 
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À la découverte du YA

À l'occasion du Salon du livre et de la presse jeunesse - et parce que le YA est une véritable passion pour moi -, je me suis dit qu'il serait intéressant de faire une petite liste de lecture sur le genre. Le young adult est un secteur qui a beaucoup évolué ces dernières années. Longtemps prise comme une littérature sans réelle importance, sans réel impact sur ses lecteurs, ce préjugés a vite évolué au fur et à mesure des parutions, et de leur contenu de plus en plus profond et sérieux. Aujourd'hui, le YA - la littérature pour les jeunes adultes - touche autant à la SF qu'à la romance, qu'au drame,... Pour tout ça, j'affectionne cette littérature, pour tout ce qu'elle fait ressentir et envisager, pour la façon dont elle parle à l'adolescente que j'étais. 
La sélection à venir est purement subjective, et je ne prétends en aucun cas tout connaître du YA [loin de là], mais j'ai fait cette sélection avec le coeur en recherchant les titres/les auteurs qui ont pour moi été significatifs. N'hésitez pas à me dire vous en commentaire quels sont les romans que vous affectionnez le plus dans cette littérature !

• J'ai envie de contemporain : 
   

• J'ai envie de drame : 
   

• J'ai envie de comédie : 
   

• J'ai envie de dystopie : 
   

• J'ai envie de post-apo : 
   

• J'ai envie d'aventure : 
   

lundi 23 novembre 2015

=> Zodiaque - Romina Russell <=

Après avoir été annoncé par Michel Lafon, il me tardait de pouvoir le recevoir et de découvrir un roman qui semblait avoir un univers bien à lui. Même si ma lecture a été ralentie par ma semaine de boulot, j'ai découvert Zodiaque de Romina Russell en prenant mon temps, plongée dans un monde unique et captivant. Une véritable invitation à lever un peu les yeux au ciel...

Éditeur : Michel Lafon 
Traductrice : Maud Desurvire
Genre : SF, romance
Public : dès 15 ans
Nombre de pages : 467
Date de parution : 22/10/2015
Prix : 16,95€

Résumé :
« Rhoma, jeune étudiante du signe du Cancer, est hantée par des visions cataclysmiques. Personne ne la croit, mais l'impensable se produit : une des lunes de sa planète explose. Raz-de-marée, pluies de météorites, tout l'univers de la jeune fille est plongé dans le chaos. Et pour elle il n'y a aucun doute : une puissance malfaisante est à l'oeuvre...
Avec son mentor, le flegmatique Mathias, et Hysan, l'excentrique émissaire du signe de la Balance, Rhoma se lance dans une course contre la montre pour prévenir les autres constellations de la menace ancestrale qui plane sur elles. Car les douze signes du zodiaque étaient treize à l'origine... et le dernier attend son heure. Celle de la destruction. »

Avis :
Avant que je ne lise Zodiaque, plusieurs avis étaient déjà tombés et j'avais le sentiment que ce serait ou tout l'un ou tout l'autre avec ce roman. Pourtant, je suis restée positive, cette couverture et ce résumé me fascinant beaucoup trop pour que je ne mette pas ce livre entre mes mains dès que possible. Puis l'espace, l'astrologie, c'est tout de même assez peu répandu en YA. Autant de raisons pour moi de me faire mon propre avis. Presque cinq cent pages plus tard, je suis ressortie d'une lecture dense, d'un univers complet et d'une histoire réellement originale !

Rhoma apprend à lire l'avenir depuis toute petite, sa mère étant persuadée que plus jeune on apprend plus on augmente ses chances de lire mieux. Des heures de méditation, de recherche de soi ; des heures d'apprentissage plutôt que des moments mère/fille. Alors quand elle s'en va, sans prévenir, Rhoma ne comprend pas. Méditer plus, travailler plus, la fera-t-elle revenir ? Des années plus tard, Rhoma a bien grandi et sait que sa mère ne reviendra pas. Elle s'est quand même inscrite à l'école des Zodaïs, les protecteurs du Zodiaque. Mais quand elle prédit la fin imminente de plusieurs planète du Zodiaque, personne n'est prêt à la croire... Jusqu'à ce que des explosions et des faits étranges se produisent...

Mon avis sur Zodiaque a changé, évolué, tout au long de ma lecture. Au début, je le trouvais très/trop détaillé, j'étais perdue dans les étoiles, sans vraiment de repères, cherchant comment faire le lien entre tout ce que l'auteur nous révélait de son monde. Puis l'action a commencé, assez rapidement d'ailleurs, et les choses se sont mises en place toutes seules. J'envisageais de mieux en mieux l'univers du roman, la représentation du Zodiaque, ses habitants. N'étant pas habituée aux récits qui se déroulent dans l'espace, je peux dire que le démarrage fut assez déroutant. Mais une fois en plein dedans, tous les détails m'ont paru plus clairs
C'est un univers très complet, dense, dans lequel Romina Russell plonge son lecteur, mais aussi très original. Un système solaire à douze planètes, des lunes, des vaisseaux ; les signes astrologiques deviennent des planètes, avec leurs habitants, leurs coutumes, leurs histoires, leurs caractéristiques. Un rapport à l'astrologie intéressant s'établit. Je me suis surprise à acquiescer à certains traits de caractères qu'on pouvait retrouver pour telle ou telle population [la fougue des lions, le calme des cancers,...]. N'ayant jamais lu de récit de ce genre avant, j'ai trouvé cela très inédit, très accrocheur. J'ai aimé ce mélange d'astrologie et de science-fiction, les croyances qui se mêlent à la technologie.
En plus de son aspect fantastique, Zodiaque nous parle également de politique, un fond contemporain qui a fini par faire actualité avec les événements du 13 novembre, par hasard. Rien ne laissait présager un tel écho, les éléments ont fait lumière petit à petit. J'étais à la fois ailleurs, quelque part dans l'immensité de l'espace, et à la fois les deux pieds sur Terre, face aux chaînes d'infos. Et, bien sûr, il y a cette romance à trois têtes : Rhoma, Hysan et Mathias... Sans prendre une part très active à l'histoire, elle occupe tout de même une bonne place et joue pour beaucoup dans l'avancée et l'évolution de nos personnages.
Pour finir, justement, parlons-en de ces trois personnages... C'est un trio très complémentaire qu'on découvre : Rhoma, la tête sur les épaules, parfois impulsive ; Mathias, plus en retrait, pragmatique et réfléchi ; Hysan, drôle, enjoué, qui amène une bonne humeur agréable. J'ai rapidement éprouvé de l'affection pour chacun d'eux. Comme Rhoma, je suis du signe du Cancer, si bien que je me suis vite identifiée à son personnage. Par la suite, quand les choses s'accélèrent, j'ai aussi vraiment ressenti le besoin de la soutenir, d'être avec elle. Hysan et Mathias sont quant à eux très différents. Si j'ai apprécié le premier tout de suite grâce à sa bonhomie, le côté plus introverti de Mathias me le rendait plus antipathique.
A part quelques longueurs en milieu de roman et des passages/sentiments, sur lesquels j'ai trouvé que Romina Russell passait peu de temps, j'ai vraiment été conquise par Zodiaque ! L'intrigue - dont je n'ai pas vu tout venir - m'a souvent prise par surprise et laissée haletante, si bien qu'il m'arrivait de prendre des pauses juste pour replonger pendant cinq minutes dans ma lecture. L'auteur n'hésite pas à frapper fort, sans aucune limite. Son histoire touche un peu à tout, divertissant autant qu'elle apprend et pose une véritable réflexion à son lecteur.

~~~~~~
Si vous cherchez une lecture totalement dépaysante et qui possède un univers bien à elle, vous la trouverez en Zodiaque de Romina Russell ! Émotions, actions, humour, astrologie et politique se retrouvent dans ce titre tout à fait addictif. L'auteur m'a plongée dans un univers inédit - pour ma part - que j'ai vraiment adoré. Passées les premières explications, il m'a été plus facile de me représenter ce décor peu habituel et ô combien riche, complet. Rhoma, Mathias et Hysan sont de ces personnages qui nous affectent rapidement, qu'il s'agisse de s'identifier à leur histoire ou à leur personnalité. Autant vous dire que j'ai hâte de les retrouver ! 

Je remercie les éditions Michel Lafon pour cette lecture


Challenge jeunesse/young adult : 4/65

mercredi 18 novembre 2015

| SLPJ 2015 |

Après les tragiques événements du 13 novembre, l'interrogation s'est faite sur l'ouverture du prochain Salon du livre et de la presse jeunesse, à Montreuil. Certains lieux culturels ayant fermé leurs portes au cours du week end, et l'état d'urgence déclaré pour plusieurs mois, qu'en serait-il de ce grand rassemblement culturel, programmé du 2 au 7 décembre ? Il est maintenu. MAINTENU.
« La culture et la littérature jeunesse sont des biens précieux qui aident à éclairer le monde, à faire grandir nos enfants. La littérature jeunesse raconte des histoires qui permettent aux enfants et aux jeunes de se comprendre, d'apprendre l'autre, de se confronter aux peurs qui les taraudent, d'apporter des réponses aux multiples interrogations qui les traversent.
Mais aussi et surtout parce qu'elle fait rêver, leur fait découvrir les mots, la langue, provoque leur imaginaire, la littérature jeunesse permet d'accéder le plus librement possible au monde, de venir au monde, de s'y inscrire.
Parce que ce droit à la culture et à la liberté n'est pas négociable, parce que nos enfants ont droit à l'imaginaire et aux rêves, nous faisons le choix de maintenir le Salon du livre et de la presse jeunesse qui se tiendra du 2 au 7 décembre à Montreuil. »
Nul doute que la sécurité sera sûrement plus importante, qu'il y aura peut-être des concessions à faire (valise, vigilance,...). Quoi qu'il en soit, mon intention de faire partie de ce salon demeure inchangée : je compte bien en être et en profiter à fond, même de mon côté d'exposant. Plus encore qu'avant, véhiculer ma passion pour la culture, les mots, la lecture, et le bonheur que cet univers m'apporte au quotidien. 
Du coup, je vous propose aujourd'hui un petit récapitulatif des signatures et rencontres du Salon qui me tentent particulièrement - ou du moins pourraient vous tenter vous ! En souhaitant par avance un bon salon à tous les visiteurs et en remerciant également tous les organisateurs/exposants/professionnels participants 

Jeudi 03/12
15h-16h : Madeline Roth - L'été de Léa, stand Sarbacane (G8).

Vendredi 04/12 
10h-12h30 : Charlotte Bousquet - Proie idéale, stand Rageot (G21),
13h-14h30 : Shannon Messenger - Les gardiens des cités perdues, stand Lumen (G33),
16h-19h : Victor Dixen - Phobos, stand Robert Laffont (D42),
17h-18h30 : Timothée de Fombelle - Vango, stand Gallimard Jeunesse (H20),
17h-18h30 : Shannon Messenger - Les gardiens des cités perdues, stand Lumen (G33),
18h-19h30 : Cathy Cassidy - Les filles au chocolat, stand Nathan (C23),
18h-19h30 : Florence Hinckel - U4, stand Nathan (C23),
18h-19h30 : Carole Trébor - U4, stand Nathan (C23),
18h-19h30 : Vincent Villeminot - U4, stand Nathan (C23),
18h-19h30 : Yves Grevet - U4, stand Nathan (C23),
18h-20h : Cat Clarke - Perdue et retrouvée, stand Robert Laffont (D42),
18h-20h : Myra Eljundir - Kaleb, stand Robert Laffont (D42),
18h-20h : Carina Rozenfeld - Le feu secret, stand Robert Laffont (D42),
18h-20h : CJ Daugherty - Le feu secret, stand Robert Laffont (D42),
18h-21h : Natoo - Icônne, stand Michel Lafon (D39),

Samedi 05/12
10h : Clélie Avit - Les messagers du vent, stand MSK (D40),
10h-12h : Victor Dixen - Phobos, stand Robert Laffont (D42),
10h-12h : Christine Féret-Fleury - Les intrigantes, stand Hachette (G25),
10h-12h : Benoit Minville - Les géants, stand Sarbacane (G8),
10h-12h : Séverine Vidal - Quelqu'un qu'on aime, stand Sarbacane (G8),
10h-12h30 : Samantha Bailly - Nos âmes jumelles, stand Rageot (G21),
10h30-12h30 : Cat Clarke - Perdue et retrouvée, stand Robert Laffont (D42),
11h30-13h : Cathy Cassidy - Les filles au chocolat, stand Nathan (C23),
13h-14h30 : Shannon Messenger - Les gardiens des cités perdues, stand Lumen (G33),
13h30-15h : Joseph Delaney - Arena 13, stand Bayard (C29), 
14h-16h : Axl Cendres - Dysfonctionnelle, stand Sarbacane (G8),
14h-16h : Clémentine Beauvais - Les petites reines, stand Sarbcane (G8),
14h-16h : Myra Eljundir - Kaleb, stand Robert Laffont (D42),
14h30-16h30 : BF Pary - Oniria, stand Hachette (G25)
14h30-17h30 : Victor Dixen - Phobos, stand Robert Laffont (D42),
15h-16h30 : Marie Pavlenko - Marjane, stand Pocket Jeunesse (E38),
15h-16h30 : Lise Syven - La balance brisée, stand Castelmore (D43),
15h-16h30 : Cindy Van Wilder - Les Outrepasseurs, stand Gulf Stream (F27),
16h-17h30 : Christophe Mauri - Matthieu Hildaf, stand Gallimard Jeunesse (H20),
16h-17h30 : Cathy Cassidy - Miss pain d'épices, stand Nathan (C23),
16h-17h30 : Yves Grevet - U4, stand Nathan (C23),
16h-17h30 : Carole Trébor - U4, stand Nathan (C23),
16h-17h30 : Vincent Villeminot - U4, stand Nathan (C23),
16h-18h : Marion Brunet - La gueule du loup, stand Sarbacane (G8),
16h30-18h : Jérôme Noirez - Brainless, stand Gulf Stream (F27),
16h30-18h30 : Carina Rozenfeld - Le feu secret, stand Robert Laffont (D42),
16h30-18h30 : CJ Daugherty - Le feu secret, stand Robert Laffont (D42),
17h-18h30 : Joseph Delaney - L'épouvanteur, stand Bayard (C29),
17h-18h30 : Gabriel Katz - Aeternia, stand Scrinéo (D38),
18h-19h30 : Cathy Cassidy - Miss pain d'épices, stand Nathan (C23).

Dimanche 06/12
10h : Clélie Avit - Les messagers du vent, stand MSK (D40),
10h-11h30 : Shannon Messenger - Let the sky fall, stand Lumen (G33),
10h-12h30 : CJ Daugherty - Le feu secret, stand Robert Laffont (D42),
10h-12h30 : Carina Rozenfeld - Le feu secret, stand Robert Laffont (D42),
10h-12h30 : Joseph Delaney - Arena 13, stand Bayard (C29),
10h30-12h : Anne-Laure Bondoux  - Tant que nous sommes vivants, stand Gallimard Jeunesse (H20),
11h-12h30 : Olivier Gay - Les épées de glace, stand Bragelonne/Castelmore (D43),
11h-11h30 : Lise Syven - La balance brisée, stand Bragelonne/Castelmore (D43),
12h30-14h : Timothée de Fombelle - Le livre de perle, stand Gallimard Jeunesse (H20),
14h-16h : Clémentine Beauvais - Les petites reines, stand Sarbacane (G8),
14h-16h : Victor Dixen - Phobos, stand Robert Laffont (D42),
14h-15h30 : Florence Hinckel - U4, stand Nathan (C23),
14h-16h : Margot Malmaison - Un amour de jeunesse, stand Michel Lafon (D39),
14h-16h : Séverine Vidal - Quelqu'un qu'on aime, stand Sarbacane (G8),
16h-18h30 : Samantha Bailly - Nos âmes jumelles, stand Rageot (G21),
16h-18h : Marion Brunet - La gueule du loup, stand Sarbacane (G8),
16h-18h : Cassandra O'Donnell - Malenfer, stand Flammarion (H12),
16h30-18h : Victor Dixen - Animale, stand Gallimard Jeunesse (H20),
16h30-18h30 : Cat Clarke - Perdue et retrouvée, stand Robert Laffont (D42),
17h-19h : Christine Féret-Fleury - Les intrigantes, stand Hachette (G25),

+ Le programme complet par ici
+ Toute la partie pratique par ici

samedi 14 novembre 2015

=> Arena 13 - Joseph Delaney <=

Fan de L'épouvanteur depuis le premier tome - c'est dire si ça date -, c'est chaque année l'événement au moment de la sortie annuelle d'un nouvel opus. Mais quand j'ai appris que Jospeh Delaney était sur une nouvelle saga, vous comprenez que je ne pouvais pas passer à côté. Aujourd'hui, je vous retrouve donc pour vous parler de Arena 13, tout chaud, tout frais. Tout bien ! 

Éditeur : Bayard Jeunesse 
Genre : fantastique
Public : dès 15 ans (+ public averti)
Nombre de pages : 400
Date de parution : 05/11/2015
Prix : 15,90€

Résumé
« Les temps sont funestes pour l'humanité, qui a presque disparue de la Terre, vaincue par des machines douées de conscience. Les derniers humains vivent confinés dans le pays de Midgard, entouré par une infranchissable barrière de brouillard.
Au-delà, personne ne sait précisément ce qu'est devenu le monde.
Dans les arènes de Gindeen, la seule ville du pays, des combattants se succèdent toute la journée. Dans l'Arène 13, on mise sur celui qui, le premier, fera couler le sang, on parie sur celui qui trouvera la mort...
Un jour, un jeune garçon, Leif, arrive à Gindeen...
Il a l'ambition de venir le meilleur combattant de l'Arène 13, et de défier Hob, l'infâme créature qui terrorise les habitants et vole leur âme. Il veut prendre sa revanche sur le monstre qui a détruit sa famille, dût-il y laisser la vie. »

Avis
J'ai plongé dans Arena 13 sans trop en savoir, désireuse de me garder toute la surprise de ce roman, de son univers. Ce qui n'a pas été plus mal en fait. Le résumé en dévoile beaucoup, notamment des éléments sur lesquels Joseph Delaney ne donne les détails qu'une fois l'histoire bien lancée. Si bien qu'en le lisant, on est susceptible de s'attendre à des choses qu'on ne trouve pas tout de suite, qu'on ne peut pas comprendre, et qui pourrait nous donner le sentiment de lire autre chose que ce qui est annoncé. Mais tout vient à point et lorsque les explications pointent... WAOUH !

Dans le futur, l'humanité tient dans un seul pays, Midgard, dont la ville principal est Gindeen. Un épais brouillard, une forteresse et l'ignorance des hommes sont les remparts de cet univers. Mais il y a aussi la crainte de Hob, un djinn tyrannique qui se nourrit des habitants qui perdent contre lui dans l'Arène 13. Leif, révolté par son pouvoir, a pour ambition de devenir le meilleur combattant de l'Arène 13, pour avoir l'occasion d'affronter un jour Hob. Et peut-être le vaincre une fois pour toute...

Un démarrage un peu long, comme je vous le disais. Une première partie du roman se concentre sur l'univers d'Arena 13 : la ville, ses habitants, leurs coutumes, l'arène, leur passé. C'est un monde complexe et riche que Joseph Delaney a monté brillamment, mêlant d'une manière unique la magie et les codes habituels de la dystopie. Cependant, il n'y a pas assez d'éléments pour l'instant pour confirmer cette idée. La présence de la magie est en tout cas certaine ! Et si on le découvre petit à petit, c'est tant pour assimiler chaque détail que parce qu'on apprend avec Leif, au fur et à mesure de ses questions, de ses cours.
Leif, venu d'un petit village du sud, est un jeune homme courageux et dominé par une seule ambition : devenir le meilleur combattant Min de l'arène 13 pour affronter un jour Hob - le djinn qui tyrannise la ville et ses habitants. Têtu, déterminé, Leif est un adolescent honnête et respectueux, épris de justice et un brin agressif. C'est aussi une forte tête loin d'être du genre à se démonter. Mais il n'est pas le seul à avoir un fort caractère... Tyron, son maître d'armes, n'en a pas moins à lui apprendre de côté-là comme vis-à-vis du combat. Et Kwin, sa fille, marche dans ses traces - même si pour elle, l'arène ne sera toujours qu'un rêve. On croise aussi Deinon et Palm, l'un moins antipathique que l'autre, les deux autres apprentis novices de Tyron. 
Difficile de résister à ce récit tant la volonté de Leif est forte et tant l'auteur happe son lecteur. Non seulement par le biais d'un univers fourni, mais aussi grâce à la tension qui habite littéralement Arena 13. De l'action, des combats, l'atmosphère est parfois aussi violente que sanglante. Chaque chapitre est incisif, donne envie d'en savoir plus, d'en lire plus. Une fois les bases posées et l'univers un peu moins flou, je n'ai plus décollé mes yeux du roman, avalant pratiquement les deux cents dernières pages d'une traite !
Ayant lu la saga L'épouvanteur, s'il fallait chercher la petite bête, je pourrais reprocher à Arena 13 d'avoir une structure similaire à cette série qui a fait connaître l'auteur : même relation élève/mentor, même univers un peu en huis-clos, même relations impossibles. Mais ça fonctionne ! Ça prend, ça accroche et ça emporte. Tyron est un mentor beaucoup plus dur que ne l'a été John Grégory ; le contexte spatio-temporel est vraiment différent ; les situations ne sont pas les mêmes. Finalement, Arena 13 se démarque de L'épouvanteur, notamment par une tournure plus sombre, plus violente - un aspect judicieusement mis en évidence par la couverture
Enfin, il y a cette petite touche, ce petit rappel aux gladiateurs. Même si c'est ici totalement réinventé et réinterprété, j'ai apprécié les valeurs évoquées ; courage, force, respect, l'arène n'est pas seulement un lieu de combat où chacun joue sa vie, malgré les règles de sécurité. C'est un mode de vie, avec ses idées, ses aspirations, ses risques. Elle effraie autant qu'elle fascine, de même que l'ambition de Leif d'y être le meilleur. Sa volonté de détruire Hob finit également par devenir la nôtre, je me suis enivrée de sa soif de justice, son désir de rébellion, gagnée par les murmures et les cris qui rythment la vie dans l'Arène 13.

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Arena 13 de Joseph Delaney annonce une nouvelle saga pleine d'action ! Premier tome prometteur, l'auteur y pose les bases de son nouvel univers, inspiré par la magie et la dystopie. Sombre, angoissant, la tension est sans cesse à son comble et explose pendant les scènes de combat. Leif est un personnage auquel je me suis rapidement attachée, à la soif de vaincre communicative. Kwin fait aussi son effet, son côté rebelle et sa volonté de combattre lui a valu ma sympathie. On referme Arena 13 avec le sentiment de n'être qu'au début de l'aventure, avec la hâte de retrouver Leif et son univers particulier.
A mettre entre les mains des fans de L'épouvanteur, comme dans celles de ceux qui ne connaissent pas encore Joseph Delaney ! 

Je remercie Babelio et les éditions Bayard pour cette lecture


Challenge jeunesse/young adult : 3/65

jeudi 12 novembre 2015

=> Brainless - Jérôme Noirez <=

Halloween a été pour moi cette année l'occasion de quelques lectures un peu horrifique, ou tout du moins dans l'idée. Et à cet effet, j'ai choisi de lire - entre autres - Brainless de Jérôme Noirez. S'il m'était arrivé de jeter quelques coups d'oeil sur un précédent titre de l'auteur, je suis ravie et satisfaite d'avoir pu découvrir ce titre. Laissez-moi vous communiquer mon enthousiasme ! 

Éditeur : Gulf Stream 
Collection : Électrogène
Genre : YA, fantastique
Public : dès 14/15 ans
Nombre de pages : 288
Date de parution : 21/05/2015
Prix : 16€

Résumé
« Jason, adolescent médiocre surnommé Brainless, habite Vermillion, petite ville du Dakota du Sud où la jeunesse s'ennuie. Tous les jours, Brainless se fait une injection de formol, pour ne pas pourrir. Depuis qu'il est mort, étouffé par une indigestion massive de maïs, les deux hémisphères de son cerveau peinent à communiquer. Son estomac ne digère que de la viande crue. Il a cessé de dormir et de respirer. En dehors de cela, son quotidien n'a pas beaucoup changer depuis qu'il est atteint du SCJH - le syndrome de coma homéostatique juvénile, une nouvelle maladie touchant les adolescents, de plus en plus répandus aux États-Unis - depuis qu'il est un zombie, autrement dit... Il lui arrive seulement, de temps à autres, de se demander quel goût à le cerveau humain.
Mais parmi ses camarades de classe, certains ont des projets bien plus macabres. »

Avis
Brainless, de son vrai prénom Jason, était un adolescent comme les autres, aux pas traînants et aux notes moyennes. Pourtant, sa vie bascule radicalement le jour où il meurt... et revient soudainement à la vie. 

Brainless est un roman qui prend par surprise. Après avoir lu le résumé, je m'attendais à une histoire de zombi assez atypique, originale, bref, à autre chose que le zombie de base, attiré par la chair fraîche et le sang, dépourvu de cerveau. Et oui, Jason n'est pas un adolescent/zombi comme les autres. Et oui, ce récit a eu cette touche d'originalité que j'en attendais. Mais plus encore ! Brainless, c'était drôle et sombre, une histoire intelligente et glaciale. Je me suis laissée surprendre par la richesse du contenu et des thèmes abordés par Jérôme Noirez.
Points de vue interne et externe s'alternent pour permettre au lecteur de prendre toute la mesure de ce qui va se jouer pendant le récit. Bien entendu, on suit Brainless, tantôt à la première personne, tantôt à la troisième. Sa mère, ses amies, le corps enseignant, Jason lui-même, tous nous donnent ainsi leur avis sur son état, ses conséquences et la nouvelle personne qu'il est devenu depuis son retour à la vie. En dehors de Jason, le lecteur découvre aussi un principal de lycée bouffé par le pouvoir, des jeunes aux secrets et aux idéaux troublants, d'autres rongés par le mal être. Une représentation forte et concrète de tout ce que l'adolescence offre en personnalité - et en problème.
Jérôme Noirez pose de véritables interrogations sur la construction de soi, le rapport à soi et aux autres, de même que sur les valeurs et les idées qui nous façonnent, qu'elles viennent d'abord de nous ou de notre entourage. Mais c'est aussi un regard très actuel et réaliste qu'il pose sur chacun de nous. Les genres se mélangent, se confondent, dans ce roman qui emprunte tant au contemporain, au fantastique et à l'initiatique. Un touche à tout un peu l'air de rien, puisqu'il n'est pas question de juger ou d'apporter une morale. Au travers de son récit, l'auteur dénonce, annonce, propose, invitant son lecteur à la réflexion sans le confronter à choisir blanc ou noir, à prendre parti pour l'un ou l'autre.
Voilà pourquoi j'ai beaucoup aimé cette lecture ! Sa qualité, ses recherches, son univers. Et en grosse partie aussi pour ses personnages ! En premier lieu, il y a Brainless, que je préfère appeler Jason - pour ma part. Un adolescent des plus ordinaires, qui revient à la vie d'une façon plutôt extraordinaire. Mais est-ce vraiment aussi bon d'être un zombie ? Jason aimerait parfois être plus réactif, ressentir davantage de choses. Ryan est également un personnage qui m'a beaucoup touchée, sans que j'y prenne gare. Un peu rondouillard, souvent exclu par les autres, aux idées parfois étranges, son histoire est de celles qui marquent. On croise aussi Cathy, Tom, Cassidy, Jim et Tony. Des personnages inattendus, des rôles importants, ils empruntent tous des chemins différents, qui les changeront à jamais.
Après avoir hésité sur ce titre, je ne regrette donc pas de m'être laissée tenter ! Jérôme Noirez possède une plume très fluide, assez visuelle, et n'a eu aucun mal à me convaincre grâce à Brainless. Je redoutais un peu le côté zombi/glauque/sombre que ce genre de roman peut donner comme a priori. Finalement, l'auteur n'en fait pas des tas sur ces facettes, si bien que le tout reste agréable et léger, ayez le coeur bien accroché quand même. Pourtant, il y a tout de même un fond sombre et choc, qui bouscule et interloque, que je vous laisse tout le loisir de découvrir.

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Résolument sombre et réaliste, Brainless est un roman aussi intelligent que fort, et je vous le recommande vivement ! A la fois troublant et léger, c'est une lecture qui invite le lecteur sur quelques pistes de réflexion et interroge les adolescents, sur leur relation, leur passage à l'âge adulte, qui ils sont, qui ils veulent être. Loin de ses allures glauques, j'ai finalement trouvé entre ses pages un roman profond, porté par un véritable univers et des thématiques très actuelles. Puis Jason/Brainless est un personnage intéressant à suivre, touchant par moments. Je n'ai pas tardé à le mettre dans les mains de mon entourage, qui en est aussi très satisfait !

Je remercie lecteurs.com et les éditions Gulf Stream pour cette lecture


Challenge jeunesse/young adult : 2/65

samedi 7 novembre 2015

♦ Wake Up! #17 ♦

• Wake up ?
Un petit RDV qui me trottait dans la tête depuis un moment. A l'origine, je voulais l'intituler "What's up?", sauf qu'en faisant des recherches je me suis rendu compte que ce RDV existait déjà chez Sous ma couverture, que je découvre à l'occasion :D Comme l'idée que j'avais s'éloigne un peu de ce que propose Bookish Girl, j'ai changé de titre. Et c'est parti mon kiki ! 
• Quand ? 
Tous les premiers de chaque mois.
• Quoi ? 
Les sorties qui me tentent, les RDV littéraires à ne pas manquer, une PAL prévisionnelle. Du blabla ?
/!\ ATTENTION : article pouvant comporter des spoilers /!\
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Je n'ai pas vu octobre finir, ni même novembre commencer ! Depuis la mi-octobre, j'ai repris très temporairement une vie active, ce qui a bien brisé ma petite routine blogo. Quinze jours plus tard, je m'adapte de plus en plus, même si la fatigue reste bien présente. Enfin, je suis déjà en retard pour ce rendez-vous alors, stop au blabla et passons au vif du sujet ! 

Les sorties du mois [à titre exhaustif] : 

The revolution of Ivy d'Amy Engel [The book of Ivy, #2]
Éditeur : Lumen
Nombre de pages : 
Prix : 
Résumé
[/!\ Spoilers si vous n'avez pas lu le 1er tome /!\]
« J'ai tout perdu. Mon foyer. Ma famille. L'homme que j'aime.
Ce serait si facile de capituler, de fermer les yeux et d'attendre que la faim et la soif aient raison de moi. Ou bien qu'une bête sauvage me trouve. Ou même un autre survivant... Mais je refuse d'abandonner. J'en ai terminé avec la lâcheté. Il est temps pour moi d'agir, enfin.
Bishop me l'avait bien dit, c'est univers hostile ne pardonne pas la moindre erreur. Et au-delà de la barrière, c'est encore pire. L'hiver approche, et si je veux survivre, il va me falloir trouver de l'eau, des vivres, un abri. D'autres condamnés avec lesquels m'allier. Mais surtout,  je vais devoir faire un choix : dois-je oublier ma vie d'avant, me venger de ceux qui m'ont trahie... ou mener, purement et simplement, la révolution ? 
Car je ne suis plus une Westfall, ni une Lattimer. Simplement Ivy. Et je suis enfin libre. »

=> Quelle date ? Le 05/10.
=> Pourquoi ? Suite et fin de The book of Ivy, premier tome d'une dystopie pour lequel j'ai eu un gros coup de coeur

Je t'ai rêvé de Francesca Zappia 
Éditeur : Robert Laffont
Collection : Collection R
Nombre de pages : 450
Prix : 18,50€
Résumé
« Vous, les gens normaux, êtes tellement habitués à la réalité que vous n'envisagez pas qu'elle puisse être mise en doute. Et si vous n'étiez pas capables de faire la part des choses ? 
Jour après jour, elle se retrouve confrontée au même dilemme : le quotidien est-il réel ou modifié par son cerveau détraqué ? Dans l'incapacité de se fier à ses sens, à ses émotions ou même à ses souvenirs, mais armée d'une volonté farouche, Alex livre bataille contre sa schizophrénie. Grâce à son appareil photo, à une Boule Magique Numéro 8 et au soutien indéfectible de sa petite soeur, elle est bien décidée à rester saine d'esprit suffisamment longtemps pour aller à l'université. Plutôt optimiste quant au résultat, elle croise la route de Miles, qu'elle était persuader d'avoir imaginé de toutes pièces... Avant même qu'elle s'en rende compte, voilà que la jeune femme se fait des amis, va à des soirées, tombe amoureuse et goûte à tous les rites de passage de l'adolescence. Mais alors, comment faire la différence entre les tourments du passage à l'âge adulte et les affres de la maladie ? Tellement habituée à la folie, Alex n'est pas tout à fait prête à affronter la normalité. Jusqu'où peut-elle se faire confiance ? Et nous, jusqu'où pouvons-nous la croire ? »

=> Quelle date ? Le 12/11.
=> Pourquoi ? Je suis plus qu'intriguée par le résumé, le thème et la couverture !

• Le feu secret de Carina Rozenfeld & CJ Daugherty
Éditeur : Robert Laffont
Collection : Collection R
Nombre de pages : 486
Prix : 18,50€
Résumé
« Taylor Montclair est une fille tout ce qu'il y a de plus normal, habitant Woodbury, petite bourgade anglaise endormie. Sacha Winters, jeune homme ténébreux, vit, lui, à Paris, la Ville Lumière. Alors que Taylor ne rêve que d'intégrer la prestigieuse université d'Oxford, Sacha ne s'intéresse nullement aux études. Et pour cause : il sait qu'il va mourir le jour de ses dix-huit ans, dans exactement huit semaines. Et la mort de Sacha verra une antique prophétie se réaliser, entraînant un chaos aux conséquences tragiques pour l'humanité.
Taylor est la seule personne qui puisse le sauver. Mais aucun des deux ne le sait. Sans doute parce qu'ils ne se sont jamais rencontrés, séparés qu'ils sont par des centaines de kilomètres et la Manche...
Ils ont huit semaines pour se trouver et résoudre une énigme ancestrale aux enjeux titanesques. »

=> Quelle date ? Le 12/11.
=> Pourquoi ? La rencontre de deux auteurs dont les précédents sagas m'ont emballée, je ne veux pas rater ça !

• Minuit ! Douze histoires d'amour à Noël de David Levithan, Rainbow Rowell, Stephanie Perkins,...
Éditeur : Gallimard Jeunesse
Nombre de pages : 496
Prix : 21€
Résumé
« Douze nouvelles romantiques de Noël.
Shy, étudiant, est coincé à cause d'une tempête de neige, tandis qu'à l'étage du dessous, Haley est aussi bloquée que lui. Lors de la fête familiale annuelle, la jeune Miranda tend un piège à un étrange visiteur. Trois amies ont organisé une fête de nouvel an et une créature mythique s'invite... »

=> Quelle date ? Le 20/11.
=> Pourquoi ? Après m'avoir fait rêver lors de sa sortie VO, Gallimard nous l'amène enfin - et dans un très bel écrin !


PAL prévisionnelle : 
  
  
In the after, terminé entre le 31 et le 1er novembre, une lecture avalée tellement elle était bonne ! Puis Miss Peregrine et les enfants particuliers, pour une dernière lecture sur le thème Halloween. Par la suite, je pense lire Zodiaque, Stone Rider et Arena 13. S'il me reste du temps, j'improviserais sûrement avec Demain j'arrête, dont la date limite d'emprunt approchera.

IMM d'octobre : 
   
   
Merci Babelio, lecteurs.com, les maisons d'éditions partenaires du blog et la biblio Moi qui avais peur de manquer de livres après le petit carton que j'avais emmené chez mes parents, j'ai pu finalement faire une seconde petite réserve. Bon, par contre, ne parlons pas tout de suite du comment je vais ramener tout ça...

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Un excellent mois de novembre à tous et toutes